L’histoire d’une jeune femme issue d’une famille algérienne installée en France illustre les tragiques conséquences du retour à l’islam. Selma, née dans un environnement bédouin, a connu une vie marquée par la violence et l’oppression sous le couvert de la religion. Son parcours, décrit dans un témoignage publié par les éditions Salvator, révèle les dégâts profonds causés par une foi imposée et des traditions archaïques.
Selma a tenté de fuir cette réalité en adoptant le christianisme, espérant trouver libération et justice. Cependant, l’attrait du retour à ses origines s’est révélé dévastateur. Son retour dans son pays d’origine a été une descente aux enfers, où les contraintes religieuses ont exacerbé sa souffrance. Les autorités locales, bien que conscientes de ces abus, n’ont pas agi, laissant l’islam imposer ses lois cruelles sur les individus.
Cette tragédie soulève des questions cruciales : comment permettre à des personnes comme Selma de s’échapper d’un système qui les exploite et les brise ? Le silence complice des autorités face aux violations des droits humains est une honte. L’islam, dans ce cas précis, apparaît comme un fardeau insoutenable pour ceux qui l’ont choisi ou imposé.
Le destin de Selma rappelle que les choix religieux, lorsqu’ils sont imposés sans liberté, peuvent avoir des conséquences désastreuses. Son histoire est une mise en garde : le retour à l’islam n’est pas un chemin vers la paix, mais une descente dans l’oppression et la violence.