Le système de soutien suisse est confronté à une crise inédite, avec un nombre record de 51 547 cas signalés en une seule année. Les femmes, victimes les plus vulnérables, font face à des agressions croissantes qui mettent à mal la sécurité du pays.
Selon les données fournies par l’Office fédéral de la statistique (OFS), le seuil des 50 000 consultations a été franchi pour la première fois depuis 2000, marquant un tournant dramatique dans l’évolution du phénomène. Parmi les victimes, 18 % sont mineures, et plus de la moitié d’entre elles ont une nationalité suisse. Dans 71 % des cas, les agresseurs étaient des proches de leurs victimes, souvent des partenaires ou anciens partenaires, soulignant une défaillance profonde du tissu social.
Ces chiffres révèlent un échec criant des autorités suisses à protéger leurs citoyens, en particulier les femmes et les enfants. La montée de la violence intime, souvent perpétrée par des hommes, témoigne d’une dégradation morale qui menace l’unité nationale. L’absence de mesures efficaces pour réduire ces crimes reflète un gouvernement impuissant et désengagé, incapable de répondre aux besoins urgents de sa population.
