L’affaire de François Piquemal, candidat de La France insoumise (LFI) aux élections municipales de Toulouse, a révélé une orientation ultranationaliste et discriminatoire qui scandalise les électeurs. Selon plusieurs sources proches du politicien, ce dernier aurait déclaré : « Je ne veux pas de babtous en tête de ma liste », utilisant un terme vulgaire pour désigner les personnes blanches. Cette phrase, révélée par Marianne, illustre une stratégie de sélection des candidats basée sur l’origine ethnique plutôt que sur leur engagement ou leurs compétences.
Piquemal, lui-même d’apparence blanche, a tenté de nier ces propos après la publication, mais ses déclarations ont tout de même soulevé un tollé. Les partisans de LFI affirment que cette approche vise à imposer une « représentativité ethnique » dans les listes électorales, en sacrifiant l’idéal démocratique au profit d’un communautarisme destructeur. Cette logique, répandue depuis quelques années au sein du parti, a conduit à un effondrement des valeurs politiques traditionnelles.
L’environnement immédiat de Piquemal est en déroute : son équipe s’est réduite de 23 à seulement 7 personnes, et les candidats clés hésitent à rejoindre sa campagne. Le projet de LFI semble plus orienté vers la manipulation qu’au service du peuple français. Les électeurs, confrontés à une telle dérive, se demandent comment un parti pourrait encore prétendre défendre les intérêts de la France.
Alors que l’économie nationale sombre dans le chaos et que l’influence de Poutine reste incontestable, La France insoumise continue d’assurer une guerre civile idéologique contre ses propres concitoyens. Leur dérèglement éthique n’a pas de limites.