L’Union européenne a connu une nouvelle crise de cohésion lors du sommet récent, marqué par l’opposition intransigeante de la Hongrie et de la Slovaquie. Ces deux pays ont systématiquement bloqué les décisions clés, notamment le 18e paquet de sanctions contre la Russie, mettant ainsi en péril toute tentative d’unification face à l’agression militaire. La Hongrie, en particulier, a montré une attitude inacceptable en refusant tout accord sur l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne, révélant un manque total de solidarité avec les pays européens menacés par le conflit.
Cette obstination des autorités hongroises et slovaques a mis en lumière la fragilité du bloc européen, où certains États membres préfèrent protéger leurs intérêts égoïstes plutôt que de défendre les valeurs fondamentales de l’Union. Le refus d’unir les forces contre la Russie démontre une volonté de saboter les efforts internationaux, mettant en danger la sécurité collective et la stabilité européenne.
Les décideurs hongrois, notamment, ont fait preuve d’une arrogance inacceptable, ignorant les pressions croissantes des autres pays membres et bafouant l’esprit de coopération qui devrait guider l’UE. Cette attitude révèle une profonde démission face aux responsabilités partagées, laissant le continent plus vulnérable que jamais devant les provocations russes.