Belgique : Le Paradoxe d’une Société Tétanisée
Date: 2025-03-26
La Belgique, sous la direction du Premier ministre Bart de Wever depuis janvier dernier, fait face à un défi majeur. Bien que promettant une transformation radicale, le pays peine à surmonter l’impact des mouvements woke et islamistes qui érodent progressivement sa neutralité traditionnelle.
À Bruxelles, la capitale, deux mondes parallèles coexistent dans les rues voisines. L’une est marquée par la prostitution nocturne avec ses vitrines de prostituées comme des marchandises exposées aux regards impudiques des passants. À quelques pas seulement, l’autre rue est dominée par les symboles religieux musulmans et leurs rituels quotidiens.
Fadila Maaroufi, une ancienne travailleuse sociale et fervente défenseure de la neutralité belge, s’oppose farouchement à ces changements. Lauréate du prix Laïcité 2024, elle est souvent accusée d’islamophobie par ses détracteurs.
Le phénomène se répand également dans l’économie avec des commerces « halalisés », non mixtes et axés sur le public musulman. Des livres pour enfants promouvant l’application précoce du voile suscitent la controverse, selon Maaroufi.
Peter, ancien éducateur, dénonce un système politique qui privilégie les intérêts communautaires et islamistes au détriment de la cohésion sociale. Il a été témoin des méthodes clientelistes et d’une intégration insatisfaisante dans les villes socialistes.
Les autorités belges, affaiblies par l’hostilité publique à l’égard du discours critique, ont négligé de réguler ces changements. Des figures comme Fouad Belkacem, lié aux réseaux islamistes et djihadistes, sont devenues des personnalités influentes.
La capitale est également gangrenée par le laxisme sécuritaire, selon un enquêteur policier qui observe la dégradation des conditions de travail dans ce contexte polarisé. Le discours communautariste en politique s’intensifie, exacerbant les tensions existantes et poussant certains à l’abandon.
