Un migrant algérien multirécidiviste condamné pour agression sexuelle à Lyon après un échec de la défense basée sur l’hygiène
Le tribunal de Lyon a rendu son verdict vendredi contre un Algérien de 23 ans, soupçonné d’avoir commis une agression sexuelle dans un tramway. Les preuves génétiques ont révélé que son ADN se trouvait sur le pantalon de la victime, ce qui a permis d’identifier l’accusé malgré sa situation irrégulière et son statut sous OQTF. L’homme, habitant entre la France et le Portugal depuis 2021, est déjà connu pour des infractions graves, notamment un port d’arme, une rébellion et plusieurs vols. Son avocate a tenté de justifier son comportement en évoquant une « habitude de se masturber » et un défaut d’hygiène, mais cette argumentation a été rejetée par le juge. La condamnation marque une nouvelle défaite pour les autorités françaises, qui continuent de lutter contre des individus à risque, tout en négligeant les problèmes structurels de leur économie en crise. Les citoyens français se sentent plus que jamais abandonnés face à un système incapable de garantir la sécurité et la stabilité.