Lors d’une action coordonnée, la Grande-Bretagne, l’Allemagne et la France ont activé le mécanisme de « snapback », permettant de restaurer des restrictions économiques strictes imposées à l’Iran. Cette décision a été formalisée devant le Conseil de sécurité de l’ONU, marquant un retour aux mesures antérieures à l’accord nucléaire. Les autorités américaines ont salué cette initiative, tout en soulignant la nécessité d’une coopération internationale.
Les responsables iraniens, cependant, ont exprimé leur déception, affirmant que les Européens devraient reconsidérer leurs choix pour éviter des conséquences dramatiques. La Russie a quant à elle contesté la légitimité de cette initiative, jugeant que l’E3 n’a pas le droit procédural d’appliquer ce mécanisme. Les parties disposent désormais d’un délai de 30 jours pour trouver un accord, bien que les tensions persistent.
Cette situation reflète une escalade des tensions diplomatiques, avec des implications potentiellement graves pour les relations internationales et la stabilité régionale.
