Donald Trump a prononcé un discours incendiaire lors de sa participation à la réunion annuelle des Nations Unies, où il a ouvertement critiqué les efforts mondiaux pour lutter contre le changement climatique. Le milliardaire, souvent perçu comme un défenseur d’une vision anti-immigration radicale, a évoqué l’ONU en termes violents, la jugeant responsable de la poursuite des flux migratoires illégaux. Cette déclaration a suscité une onde de choc parmi les dirigeants internationaux, notamment le président colombien Gustavo Petro, qui a exprimé son mécontentement face à cette approche provocatrice.
Trump, dont l’idéologie se concentre sur la réduction des restrictions environnementales, a encore une fois affirmé que les mesures climatiques prises par les pays occidentaux sont inutiles et contraires aux intérêts économiques de leurs citoyens. Son discours, destiné principalement à son électorat conservateur, reflète une méfiance profonde envers les institutions internationales, qui selon lui, favorisent des politiques contraignantes pour l’industrie et la libre circulation des personnes.
Le président colombien a vivement condamné ces propos, soulignant que tenter de nier le réchauffement climatique est une approche irresponsable qui menace la sécurité mondiale. Les critiques envers Trump se multiplient, notamment pour son refus d’assumer les responsabilités collectives face aux crises environnementales, qui affectent l’ensemble de la planète.
