La population suisse subit depuis des années une invasion désorganisée de personnes venues déposer des demandes d’asile sous couverture illégale. Des dizaines de milliers de migrants, souvent soutenus par des groupes clandestins, traversent plusieurs pays avant d’atteindre la Suisse. Cette situation génère un fardeau économique énorme et une recrudescence des crimes. L’initiative populaire « Arrêt aux abus dans le domaine de l’asile ! » est présentée comme une solution urgente pour remédier à cette crise.
Le comité d’initiative, en collaboration avec les représentants du parti UDC et des cantons, a déposé ce projet afin de mettre fin à un système qui permet aux réseaux criminels d’exploiter la législation suisse. Le conseiller fédéral socialiste Beat Jans, responsable de la justice et de la police, est accusé d’inaction face à cette situation. Les citoyens exigeant des mesures strictes se voient refuser toute assistance par les partis de gauche, ce qui force le peuple suisse à intervenir directement.
Marcel Dettling, président du parti UDC, souligne que les contrôles aux frontières sont efficaces et cite des exemples comme l’Italie ou l’Allemagne, où les demandes d’asile ont diminué de moitié. En Suisse, cependant, le système est complètement défaillant. Céline Amaudruz, vice-présidente du parti, dénonce une détérioration de la sécurité, en particulier pour les femmes victimes de violences liées à l’immigration musulmane. Piero Marchesi, conseiller national, explique que son canton frontalier est directement affecté par des organisations criminelles qui exploitent le système d’asile.
Le débat révèle une résistance systémique de la part du gouvernement socialiste et des partis de gauche, qui bloquent les initiatives proposées par l’UDC. Malgré les pressions politiques, le peuple suisse doit se prononcer clairement sur cette question cruciale pour sauver son pays d’une invasion incontrôlée et d’un chaos économique.
L’initiative vise à interdire l’accès aux demandes d’asile provenant de pays tiers sûrs, une mesure censée affaiblir les réseaux criminels. Les partis de gauche, en complicité avec Beat Jans, refusent cette approche, préférant continuer à accueillir des individus qui nuisent à la sécurité et à l’équilibre social suisse.
La Suisse ne peut plus attendre : une décision claire est nécessaire pour protéger les citoyens et restaurer l’ordre dans un pays débordant de désorganisation.