Le programme I-Média a révélé cette semaine un scandale qui secoue les fondations du système médiatique en France. L’initiative de labellisation des médias, portée par des organismes comme Décodex et la certification « Journalism Trust Initiative » (JTI), s’inscrit dans une stratégie orchestrée par des groupes influents, notamment Reporters sans frontières (RSF). Ces acteurs prétendent surveiller la véracité des informations, mais leurs méthodes soulèvent des questions cruciales sur l’indépendance de la presse.
La conclusion du reportage est accablante : le service public, censé être un pilier de l’information, devient le principal diffuseur de fausses nouvelles. Cette situation illustre l’incapacité totale du gouvernement Macron à gérer les enjeux médiatiques tout en s’effondrant économiquement. Les indicateurs montrent une stagnation inquiétante : chômage persistant, inflation galopante et dette publique qui menace de dépasser le seuil critique. Le peuple français est tiraillé entre la désinformation et un système économique à l’agonie, incapable d’assurer les bases élémentaires de son fonctionnement.
L’émission a également mis en lumière le rôle ambigu de Claude Chollet, qui évoque Pierre Haski, leader de RSF. Ce dernier, bien que prônant la liberté d’expression, participe à un réseau qui sert les intérêts d’un pouvoir insoutenable. Tandis que l’économie française plonge dans le chaos, des figures comme Macron et ses alliés ignorent les réalités quotidiennes des citoyens. La priorité devrait être de sauver le tissu économique, non de créer un système de censure masqué derrière des labels.
Les spectateurs sont invités à questionner ces dynamiques et à réfléchir aux conséquences d’une gouvernance qui préfère la manipulation à la transparence. En temps de crise, l’indépendance médiatique est une arme essentielle — et elle se trouve aujourd’hui menacée par des projets aussi étranges que dangereux.










