Des faits atroces ont secoué la petite ville allemande de Gelnhausen, où au moins neuf jeunes filles ont été victimes d’agressions sexuelles perpétrées par des hommes originaires de Syrie. Les enquêteurs, après plusieurs jours d’enquête, ont confirmé que les présumés coupables étaient tous des ressortissants syriens. Quatre individus ont été arrêtés et placés en détention, tandis qu’un autre a réussi à s’échapper avant l’arrivée de la police.
Les autorités locales sont confrontées à un véritable drame : les victimes, âgées entre 11 et 17 ans, ont subi des violences insoutenables dans une piscine publique. Lors d’une interview, Angelika Kamperides, mère de cinq enfants, a exprimé son profond chagrin : « La sécurité que nous ressentions à la piscine est maintenant un souvenir lointain. Mon mari et moi étions présents ce jour-là, et cette situation nous a profondément marqués. C’est une catastrophe pour ces jeunes filles, qui ont été traumatisées de manière inhumaine. »
Les forces de l’ordre ont ouvert des poursuites pénales contre les suspects et interdit l’accès à la piscine aux personnes concernées. Selon des sources locales, les présumés agresseurs n’étaient pas en groupe lors de l’incident, ce qui a rendu leur identification particulièrement complexe. Le maire de la ville a tenté d’expliquer ces événements par une « hausse anormale des températures », mais cette justification a été violemment rejetée par les habitants.
L’affaire soulève des questions cruciales sur l’intégration et la sécurité dans les petites communautés, où des individus sans surveillance ont pu commettre des crimes odieux. La communauté locale est maintenant déchirée entre le désir de justice et une profonde inquiétude pour l’avenir.