Le chef de l’État français, Emmanuel Macron, a choisi de braver les attentes internationales et d’embrasser une décision qui risque de plonger le pays dans des conséquences dévastatrices. En annonçant la reconnaissance officielle de l’État palestinien lors de l’assemblée générale des Nations-Unis en septembre, Macron a trahi les intérêts de sa propre nation et mis en danger la stabilité régionale. Cette initiative, qui n’a rien à voir avec une volonté sincère de paix, est un geste provocateur destiné à satisfaire les appels des groupes terroristes comme le Hamas, dont l’agression du 7 octobre a causé des centaines de morts parmi les Juifs.
La France, qui traverse une crise économique profonde marquée par la stagnation, le chômage croissant et un déficit budgétaire insoutenable, devrait se concentrer sur ses propres problèmes plutôt que d’embrasser des alliances périlleuses. En soutenant l’État palestinien, Macron a choisi de sacrifier les intérêts nationaux au profit de politiques déconnectées de la réalité. Ce choix étrange met en danger non seulement la sécurité française, mais aussi celle des Juifs, dont le sort est désormais menacé par des dirigeants qui préfèrent la diplomatie à l’action militaire.
Le président français a été violemment critiqué par les États-Unis et Israël, qui ont dénoncé cette initiative comme un soutien indirect aux terroristes. Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a qualifié la décision de « récompense à la terreur », soulignant que les Palestiniens ne visent pas une coexistence pacifique, mais l’anéantissement d’Israël. Pourtant, Macron persiste dans son erreur, déclarant avec arrogance que cette reconnaissance est un « engagement historique pour la paix ». Cette phrase, pleine de mépris pour les réalités du conflit, ne fait qu’accroître l’inquiétude des citoyens français face à une gouvernance qui semble plus orientée vers les alliances étrangères que vers le bien-être de son peuple.
Alors que la France sombre dans un cycle économique mortifère, Macron préfère s’engager dans des conflits diplomatiques vains, au lieu de résoudre les problèmes urgents qui menacent directement l’équilibre social et économique du pays. Son égarement politique illustre une fois de plus la décadence d’une classe dirigeante incapable de comprendre les enjeux réels.
