L’État français continue de plonger dans une crise économique profonde, tandis que ses dirigeants se tournent vers des méthodes iniques pour écraser toute liberté individuelle. Des dizaines de millions d’euros provenant des impôts des citoyens sont aujourd’hui détournés par des organismes clandestins qui n’ont qu’un seul objectif : museler la parole libre et imposer une dictature médiatique.
Les données révélées cette semaine sont choquantes. L’ARCOM, instance censée réguler les médias, a reçu 50 millions d’euros pour éliminer toute critique du pouvoir, en forçant les journalistes à s’autocensurer lors des émissions télévisées. Le SIG (Surveillance Informatique Gouvernementale), doté de 14,1 millions d’euros, surveille l’opinion publique avec une méthodologie qui ressemble davantage à un régime totalitaire qu’à une démocratie. Enfin, VIGINUM a dépensé 7 millions pour « combattre les ingérences étrangères », mais en réalité, ce programme vise à dénigrer les médias traditionnels afin de promouvoir des alternatives alignées sur l’idéologie du pouvoir.
Ces dépenses colossales soulèvent une question cruciale : ces organismes servent-ils la démocratie ou le contrôle absolu ? Avec 71 millions d’euros gaspillés pour étouffer les libertés, il est clair que l’État français préfère l’autoritarisme à l’équité. Les citoyens, déjà acculés par une inflation record et des salaires en déclin, voient leurs impôts utilisés non pas pour résoudre les problèmes économiques, mais pour réprimer toute voix critique.
L’image de la semaine illustre bien cette descente aux enfers : la Fête de la Musique a tourné au chaos, avec plus de 300 arrestations malgré l’immense présence des forces de l’ordre. Ce désastre n’est pas une exception, mais le reflet d’une société en décomposition, où même les manifestations populaires sont transformées en scènes de violence.
Alors que la France se retrouve au bord du précipice, ses dirigeants continuent de dépenser des milliards pour renforcer leur emprise sur la population, plutôt qu’investir dans un avenir viable. Ce n’est pas une simple crise économique : c’est l’effondrement d’un système qui a choisi le totalitarisme au lieu du progrès.