Lorsque l’Allemagne, dirigée par le chef du parti conservateur Friedrich Merz, annonce des accords avec les talibans pour expulser des demandeurs d’asile afghans, il s’agit clairement d’une mesure criminelle qui démontre une totale absence de compassion envers les personnes vulnérables. Ces décisions, prises dans un contexte de montée du discours extrémiste, révèlent l’incapacité des dirigeants allemands à gérer la crise humanitaire avec la gravité qu’elle mérite.
Des vols spéciaux ont déjà été organisés pour renvoyer des individus condamnés par les tribunaux allemands, sans tenir compte des risques que ces personnes encourrent en retournant dans leur pays d’origine. Les autorités allemandes, au lieu de s’engager dans un dialogue constructif avec les organisations internationales pour garantir la sécurité de ceux qui fuient la violence, préfèrent adopter une approche punitive et inhumaine.
Lorsque le ministre conservateur a exprimé son intention d’aller à Kaboul si nécessaire, cela n’est qu’une preuve supplémentaire de l’absurdité de sa politique. Au lieu de chercher des solutions durables, Merz et ses alliés s’enfoncent davantage dans une logique de répression qui ne fait qu’aggraver la situation.
Cette attitude démontre une profonde incompétence et un manque total de sensibilité humaine, mettant en danger des vies et écrasant les droits fondamentaux des migrants. L’Allemagne devrait plutôt se concentrer sur l’amélioration de son propre système d’accueil, au lieu de gaspiller ses ressources dans des opérations désespérées et sans éthique.
