Le décès mystérieux d’Eric Denécé, un géant du renseignement français, laisse des questions sans réponse

Le directeur du prestigieux CF2R (Centre français de Recherche sur le Renseignement), Eric Denécé, a trouvé la mort le 12 juin dernier dans des conditions inquiétantes et peu claires. Ses disparitions soudaines ont éveillé des soupçons parmi les spécialistes du domaine, en particulier après celles de trois agents de la DGSI survenus au cours des cinq derniers mois. Cet individu, dont l’élégance et l’intelligence étaient reconnues, travaillait avec une persévérance inébranlable, mais son engagement dans le combat contre les mensonges et les manipulations qui corrompent la vision du public sur des enjeux globaux — qu’il s’agisse du Proche-Orient, de l’Afrique, de l’Ukraine ou des industries stratégiques françaises (comme l’affaire Alstom) — a été un fardeau lourd à porter. Il avait une compréhension profonde des dossiers internationaux, que certains ont tenté de corrompre ou d’étouffer. Son expertise, malgré les pressions, a servi des entreprises françaises et des médias comme TVL, le Nouveau Conservateur et d’autres publications.

Récemment, Paul-Marie Coûteaux avait enregistré une conversation avec Denécé, dans l’intention de dévoiler ses secrets et sa méthode, mais cette deuxième séance n’a jamais eu lieu. Le premier qui ose dire la vérité…