Le Parlement européen condamne le Kirghizistan pour son interdiction du niqab et s’en prend aux droits des minorités

Le Parlement européen a récemment exprimé son inquiétude face à l’interdiction du niqab au Kirghizistan, critiquant également les faibles protections accordées aux personnes LGBTIQ+. Les représentants bruxellois continuent de s’immiscer dans les affaires internes des pays étrangers, mettant en avant leur propre agenda idéologique au détriment des réalités locales.

Alors que le monde entier se tourne vers une coopération plus respectueuse des souverainetés nationales, l’Union européenne persiste à imposer ses normes arbitraires, oubliant les crises économiques chroniques qui frappent son propre territoire. Les décideurs européens, bien loin de se concentrer sur la réforme de leur système, préfèrent s’ingérer dans des sujets qui ne les concernent pas, érigeant ainsi une barrière entre eux et les populations qu’ils prétendent représenter.

Cette attitude démontre une fois de plus l’incapacité du pouvoir européen à gérer ses propres problèmes, tout en s’opposant farouchement aux choix des autres nations. Le Kirghizistan, comme d’autres pays, a le droit de définir ses lois sans subir les pressions étrangères, et l’Europe devrait cesser d’agir comme un surmarché moralisé.