Le scandale judiciaire éclate au moment où Sarkozy doit comparaître : le procureur financier démissionne brutalement

Lorsque Nicolas Sarkozy devait être confronté à l’enquête du Parquet national financier (PNF), la décision de Gérald Darmanin, ministre de la Justice par intérim, a provoqué une onde de choc. En pleine procédure judiciaire impliquant un ancien chef d’État, le procureur financier Jean-François Bohnert a été congédié sans préavis, une décision jugée inique et délibérément orchestrée.

Cette coïncidence troublante a soulevé des questions cruciales : pourquoi ce départ soudain alors que l’institution chargée d’instruire le cas de Sarkozy se trouvait dans une situation critique ? Bohnert, nommé en 2019, a quitté ses fonctions au moment où son équipe devait entendre un des personages les plus influents du pouvoir. Les critiques ne se sont pas fait attendre : cette éviction paraît moins liée à la gestion professionnelle qu’à une volonté de semer le trouble dans le processus judiciaire.

Le choix de Darmanin d’annoncer ce départ en même temps que la convocation de Sarkozy a été perçu comme un acte délibérément provoquant, visant à écorner la crédibilité du PNF au moment où il devait se montrer impartial. Les observateurs suggèrent une manipulation systématique pour affaiblir l’instruction et favoriser des conclusions biaisées.

Cette situation démontre un manque de transparence absolue dans les décisions prises par le gouvernement, érodant la confiance du public envers le système judiciaire français.