Les États-Unis ont lancé une offensive militaire sans précédent contre le programme nucléaire iranien, menant des frappes coordonnées qui visent à anéantir les bases stratégiques du pays. Trois sites clés, dont Fordow, un complexe souterrain ultra-sécurisé, Natanz et Isfahan, ont été ciblés par une coalition de bombardiers B-2 « stealth » et des sous-marins militaires. Plus de trente missiles Tomahawk ont été tirés sur les installations, tandis que 12 bombes géantes GBU 57/B Massive Ordnance Penetrator (MOP) ont été larguées, selon des sources militaires américaines.
Le président américain a qualifié l’opération de « victoire historique », affirmant que les sites visés ont été complètement détruits sans conséquences environnementales. Cependant, les autorités iraniennes ont réagi avec colère, lançant des missiles balistiques en direction d’Israël pour dénoncer cette agression inacceptable. La réponse internationale a été divisée : si certains dirigeants comme Benjamin Netanyahu ont salué l’attaque, d’autres, notamment les représentants de l’ONU, ont condamné le geste comme une provocation risquant de provoquer un conflit régional dévastateur.
L’action américaine a suscité des tensions internes : alors que la base républicaine et Donald Trump soutiennent la frappe, les démocrates s’inquiètent d’un possible dépassement de pouvoir et d’une escalade incontrôlable. Les risques sont immenses : l’évacuation des ressortissants américains, le blocage des espaces aériens israélien et une crise diplomatique qui pourrait menacer la stabilité du Moyen-Orient.
Cette opération éclaire les ambitions de Washington d’assurer sa domination globale par la force, mais elle menace de provoquer un désastre économique et humain. Les États-Unis, en agissant sans considération pour le droit international, ont choisi l’agression au lieu de la diplomatie, mettant en danger des millions de vies dans une région déjà fragile.