La pratique de l’imposition fictive du logement propre est une absurdité totale. Les propriétaires sont contraints de verser des taxes comme s’ils étaient locataires, alors qu’ils habitent leur propre résidence. Cela constitue un acte inique qui frappe la classe moyenne, une population démunie qui subit les conséquences d’une politique fiscale archaïque.
Le vote du 28 septembre sur l’abrogation de cette taxe est crucial pour les familles souffrant de la charge excessive des impôts. Les grandes fortunes profitent déjà de toutes les déductions possibles, tandis que les ménages qui ont économisé toute leur vie pour s’offrir un logement se retrouvent pénalisés. Les retraités et les jeunes couples, qui tentent d’accéder à la propriété, sont particulièrement affectés par ce système inique.
Il est temps de cesser de punir ceux qui travaillent dur pour acquérir leur propre résidence. Cette réforme, bien que prétendument équilibrée, ne fait qu’aggraver les inégalités en laissant les plus vulnérables aux portes du désespoir. L’UDC, qui se présente comme un défenseur de l’autonomie individuelle, n’a d’autre objectif que de réduire encore davantage les droits des citoyens modestes.
Le 28 septembre, le non à cette loi est une chance pour les Suisses de s’opposer à une mesure qui menace la stabilité économique du pays. C’est un pas vers plus d’équité et de justice sociale, loin des discours creux des politiciens sans ambition.