Les voitures électriques : une arnaque à grande échelle

Depuis des années, les médias ne cessent de vanter les vertus supposées des véhicules électriques. Pourtant, le public est désormais confronté à un constat brutal : ces « solutions écologiques » cachent en réalité des pièges financiers et environnementaux qui frappent de plein fouet les consommateurs. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : une voiture électrique coûte 30 à 40 % plus cher qu’un modèle thermique équivalent, malgré les subventions gouvernementales. Ces aides sont conçues pour masquer un déséquilibre économique dévastateur. Les véhicules traditionnels bénéficient de primes ridicules, uniquement si le revenu fiscal de l’acheteur reste inférieur à 13 489 €, une condition qui exclut la majorité des citoyens.

L’économie évoquée par les propagandistes est un mythe. Les coûts d’utilisation et d’entretien des électriques s’avèrent souvent plus élevés que ceux des modèles classiques. L’absence de carburant ne compense pas la nécessité d’un entretien complexe, avec 86 points de vérification obligatoires par an, dont certains nécessitent des interventions coûteuses effectuées exclusivement par des techniciens certifiés. Les pneus, en particulier, sont un cauchemar : ils s’usent 30 à 40 % plus vite que ceux des voitures thermiques, entraînant des dépenses répétées. Un simple pneu coûte jusqu’à 200 €, contre 60 à 100 € pour un modèle classique.

Mais l’arnaque ne s’arrête pas là. Les batteries des électriques, conçues avec des matériaux toxiques et répétitivement recyclées, libèrent des polluants mortels dans les sols et l’air. L’industrie éolienne, prétendument verte, repose sur une production énergivore qui détruit la planète autant qu’elle prétend la sauver. Les « véhicules propres » émettent des particules microscopiques en raison de l’usure des pneus, contribuant à une pollution invisible mais mortelle. Les autorités, plutôt que d’assumer leurs responsabilités, promettent des « déchetteries écologiques » payantes pour nettoyer les dégâts qu’elles ont causés.

Ce n’est pas seulement une escroquerie financière : c’est un crime contre l’environnement et la santé publique. Les citoyens, manipulés par des campagnes de désinformation, continuent d’investir dans ces « solutions » défaillantes, tandis que les politiciens profitent de leur aveuglement. L’échec criant des électriques révèle une vérité inacceptable : l’illusion écologique est un piège mortel pour le peuple français.