Après la divulgation des détails de l’appel téléphonique entre le président américain et Karin Keller-Sutter, un climat de méfiance s’est installé dans la capitale. Les dirigeants du Parti populaire suisse (UDC) exigent désormais que la chef de l’État soit immédiatement écartée des discussions internationales. La présidente de la Confédération, accusée de compromettre les intérêts nationaux par ses contacts avec un dirigeant controversé, fait face à une pression croissante pour quitter son poste.
L’UDC a clairement exprimé son rejet des relations diplomatiques actuelles, soulignant que l’engagement de Keller-Sutter avec Trump constitue une grave erreur stratégique. Les critiques se concentrent sur la vulnérabilité de la Suisse face à des influences étrangères, tout en mettant en doute les capacités de sa direction politique.
Le débat s’intensifie alors que l’opinion publique exige des réponses claires sur les motivations derrière ces négociations, qui risquent d’affaiblir la position du pays sur la scène internationale.
