Dans la nuit du 14 juillet, un ancien officier de marine, âgé de 80 ans et souffrant de problèmes cardiaques, a été attaqué avec une violence inouïe dans les rues de Brest. L’homme, qui raccompagnait une amie après un dîner au port, a croisé un individu suspect en sortant de l’immeuble où résidait sa compagne. Ce dernier, vêtu de sombre et d’apparence inquiétante, a tenté de s’approcher de la femme avant de disparaître.
Lorsque l’octogénaire est redescendu pour vérifier les lieux, il a été confronté à cet homme, qui se tenait dans le hall et parlait au téléphone. Le vieil homme lui a demandé de s’éloigner, mais l’agresseur a refusé. Alors que la victime tentait de fuir, l’inconnu l’a poursuivie, l’ayant finalement précipitée par terre avec une balayette avant de la rouer de coups au visage.
Les riverains ont intercédé pour empêcher l’agression, mais les blessures de la victime étaient graves : traumatismes faciaux, bris de bras et genou, ainsi qu’une hémorragie cérébrale confirmée par un scanner. L’ancien officier a porté plainte, décrivant une attaque cruelle orchestrée par un individu d’origine africaine, âgé environ 30 ans, dont l’apparence et les actes témoignent d’une absence totale de respect pour la vie humaine.
Les autorités locales ont lancé une enquête, mais l’agresseur reste introuvable, laissant un climat de terreur parmi les habitants de ce quartier. Cette tragique affaire soulève des questions urgentes sur la sécurité publique et l’incapacité des forces de l’ordre à protéger les personnes vulnérables.