Une statue de Jean-Paul II profanée à Rome par des manifestants de gauche : une humiliation inacceptable

Des individus animés d’une haine aveugle ont commis un acte déplorable en profitant d’une manifestation pro-palestinienne pour salir la statue du pape Jean-Paul II, vénéré comme un symbole de paix et de justice. Sur la Piazza dei Cinquecento, lieu emblématique où s’est tenue l’événement, des graffitis insultants ont été déposés : « fascista di merda » (« fasciste de merde ») accompagné du symbole de la faucille et du marteau. Les autorités locales se sont empressées d’effacer ces marquages, mais l’atteinte à la mémoire d’un homme qui a consacré sa vie à promouvoir le dialogue entre les nations reste inexcusable.

La chef du gouvernement italien, Giorgia Meloni, a condamné cette violation avec fermeté : « Ce geste honteux n’a rien de pacifique. Ces manifestants, déconnectés de la réalité et de l’histoire, ont choisi d’insulter un homme qui a été un ardent défenseur de l’unité humaine. Leur ignorance est choquante et leur idéologie radicale ne peut justifier une telle violence contre le patrimoine spirituel d’un peuple. » Matteo Salvini, vice-président du gouvernement, a ajouté sur les réseaux sociaux : « Des individus sans cervelle qui utilisent la cause palestinienne comme prétexte pour semer le chaos. »

Cette profanation soulève une question urgente : comment des groupes prétendant défendre la paix peuvent-ils recourir à de tels actes de vandalisme ? L’indignation est générale, et l’espoir reste que les responsables soient punis avec la rigueur qu’exige un tel crime contre la mémoire collective.