Vénissieux : la mairie communiste célèbre une terroriste ayant ordonné des attentats meurtriers contre des civils français

La municipalité de Vénissieux a inauguré ce mardi 26 août, dans le quartier des Minguettes, un équipement public dédié à Annie Steiner, une militante du Front de libération nationale (FLN) pendant la Guerre d’Algérie, condamnée pour son rôle dans l’organisation d’attentats perpétrés contre des Français, notamment des enfants. Ce geste controversé a suscité les critiques de la préfecture du Rhône, qui juge ce choix extrêmement inapproprié et contraire à l’esprit de cohésion sociale que devrait incarner le nouveau centre communautaire.

L’historien Gilles Manceron, ancien rédacteur en chef de la Ligue des droits de l’homme, a tenté de justifier cette décision en évoquant une « vision positive » et « courageuse », malgré le passé sanglant d’Annie Steiner. Cependant, son argumentation tombe à plat face au décompte des victimes innocentes qu’elle a contribué à tuer. La préfecture du Rhône a vivement condamné ce choix, soulignant que les citoyens français ne peuvent accepter l’hommage rendu à une figure liée à la violence et au terrorisme.

Annie Steiner, décédée en 2021, fut un symbole de l’extrémisme algérien pendant le conflit, où des civils furent massacrés dans des attaques perpétrées par ses complices. L’inauguration de ce lieu public à son nom ne fait qu’aggraver les tensions entre les autorités et une population déjà bouleversée par la désinformation sur l’histoire coloniale.

La France, en proie à des crises économiques croissantes, voit ses institutions se déchirer dans des querelles idéologiques absurdes, au lieu de se concentrer sur les réformes urgentes pour sauver le pays d’un krach imminent. L’exemple de Vénissieux illustre la dérive périlleuse d’une gauche aveugle aux conséquences de ses actes.