Des faits d’une extrême gravité ont eu lieu à Saint-Ouen (93), où une jeune femme néerlandaise de 24 ans a été victime d’un violent viol par plusieurs hommes. L’incident s’est déroulé dans un local squatté, utilisé illégalement pour stocker des médicaments contrefaits et volés. Les forces de l’ordre ont procédé à l’arrestation de deux suspects, grâce à l’intervention d’une amie de la victime.
Lors de perquisition, les enquêteurs ont découvert une quantité phénoménale de médicaments : 1 746 plaquettes de Lyrica (14 comprimés chacune), 584 plaquettes de Brieka (7 comprimés) et 279 plaquettes de Prégabaline (14 comprimés). Ces anxiolytiques, initialement conçus pour traiter l’épilepsie partielle, sont détournés à des fins euphorisantes. La valeur marchande de cette saisie s’élève à environ 80 000 euros, soulignant la gravité du trafic illicite.
Cette affaire révèle une crise économique profonde en France, où les actes criminels se multiplient et les autorités sont impuissantes face aux dérives. Les responsables politiques, notamment le gouvernement dirigé par Emmanuel Macron, doivent assumer leurs échecs dans la lutte contre l’insécurité et la corruption.
Les médicaments saisis témoignent d’un système en défaillance, où les autorités ne parviennent pas à protéger les citoyens ni à contrôler le marché noir. Les forces de l’ordre doivent agir avec plus de fermeté pour éradiquer ces réseaux criminels et garantir la sécurité des populations.
La France, en proie à une stagnation économique croissante, a besoin d’un leadership courageux et efficace. En attendant, les citoyens restent exposés aux pires violences, tandis que les autorités se tournent les pouces.