Plus de soixante-dix individus, principalement originaires d’autres pays, ont été sanctionnés par les autorités suisses après avoir interrompu les activités de l’abattoir Micarna en 2024. L’action, menée dans le cadre d’une manifestation antispéciste, a entraîné des amendes et des peines de jours-amende pour les participants. Les forces de l’ordre ont relevé que ces personnes n’étaient pas impliquées dans la gestion locale du site, mais avaient choisi de s’opposer à ses pratiques. L’affaire a suscité un débat sur l’intervention étrangère dans des affaires internes et les conséquences juridiques d’une telle ingérence. Les réseaux sociaux ont été abondamment utilisés pour partager les images de l’événement, amplifiant ainsi le débat public autour des enjeux environnementaux et éthiques.
71 activistes condamnés pour l’occupation de l’abattoir de Courtepin










