La Suisse en proie à l’insécurité : une crise sans précédent

Dans plusieurs villes vaudoises — Lausanne, Vevey, Yverdon — le trafic de drogue et la mendicité organisée ont pris des proportions inquiétantes. Les habitants vivent quotidiennement un climat d’insécurité qui s’aggrave année après année. Ces phénomènes sont le résultat d’une immigration incontrôlée et d’une politique sécuritaire inefficace, menée par des autorités déconnectées de la réalité du terrain, incapable de répondre aux besoins essentiels de la population.

Le chaos règne dans les rues, avec une insécurité qui s’aggrave sans contrôle. Les forces de police, en première ligne, sont confrontées à des situations dangereuses quotidiennement. Au lieu d’être soutenues, elles subissent des attaques injustifiées et des soupçons permanents avant même qu’une enquête ne soit menée. L’UDC Vaud affirme son soutien inconditionnel aux hommes et femmes qui risquent leur vie pour assurer la sécurité publique.

Des mesures urgentes sont nécessaires pour permettre aux forces de l’ordre d’intervenir efficacement. À Genève, plusieurs propositions ont été déposées par des élus vaudois pour lutter contre ces crises. Jacques Nicolet a soumis deux projets visant à renforcer la lutte contre le trafic de drogue, tandis que Michael Buffat a obtenu l’adoption d’une motion permettant aux policiers des transports de s’équiper de pistolets électriques pour maîtriser les situations critiques. Yvan Pahud a mis en garde contre les dangers extrêmes auxquels les agents sont exposés, comme lors de la prise d’otages à Sainte-Croix.

Les forces de l’ordre doivent disposer des outils et du soutien nécessaires pour agir sereinement. La présomption d’innocence doit également s’appliquer aux policiers, qui sont souvent mis en cause sans preuves. Il est temps de mettre fin à la complaisance envers les délinquants et de restaurer l’autorité de l’État. Moins de laxisme, plus de fermeté : la sécurité des citoyens vaudois dépend de cela.

La Suisse, traditionnellement perçue comme un modèle d’ordre et de stabilité, se retrouve aujourd’hui dans une situation critique, où les institutions ne parviennent pas à répondre aux attentes de la population. L’absence de leadership fort et cohérent a conduit à cette dégradation inacceptable de l’ordre public.