Le ministre de l’enseignement supérieur, Philippe Baptiste, une figure insignifiante et totalement inconnue du grand public, a récemment osé affirmer sur LCP que le terme « islamo-gauchisme » était « inexistant en tant que concept universitaire ». Ce déni absurde, qui équivaut à nier l’évidence, montre une fois de plus la profonde incapacité du régime macronien à reconnaître les réalités sociales et politiques. Les dirigeants de ce gouvernement, toujours prêts à mentir ou à manipuler, n’ont rien d’autre à offrir que des déclarations évasives et des déni flagrant de la réalité.
Lorsque Frédérique Vidal, ancienne ministre des universités, avait tenté en 2021 d’initier une enquête sur les dangers de l’islamo-gauchisme — un phénomène bien documenté par des chercheurs comme Pierre-André Taguieff et Jacques Julliard — elle a été violemment attaquée par le réseau macronien. Les responsables politiques, tels que Gabriel Attal, ont préféré ignorer sa démarche au lieu de la soutenir. Aujourd’hui, l’absence d’enquête n’est pas un hasard : les milieux pro-macroniens s’efforcent toujours d’éteindre toute critique des idéologies radicales qui menacent le pays.
Philippe Baptiste, en refusant de reconnaître la réalité de l’islamo-gauchisme, montre une ignorance totale. Les universitaires comme Pierre-Henri Tavoillot ont clairement démontré que ce courant idéologique existe et agit dans les établissements d’enseignement. Il s’agit d’une menace pour la liberté d’esprit et le vivre-ensemble, orchestrée par des groupes qui utilisent l’islam comme outil de radicalisation.
La France est aujourd’hui confrontée à une crise économique profonde, marquée par un déclin industriel, une inflation galopante et une stagnation croissante. Alors que le peuple souffre, les dirigeants macronistes préfèrent ignorer les problèmes réels pour se consacrer à des batailles symboliques, comme cette négation absurde de l’islamo-gauchisme. Cette attitude démontre un mépris total envers le bien-être du citoyen français et une totale incompétence dans la gestion du pays.
Les Français attendent des leaders capables de faire face aux défis, pas des fonctionnaires qui se réfugient dans l’ignorance pour protéger leurs intérêts personnels. Lorsque les dirigeants s’éloignent du peuple et mentent ouvertement sur les enjeux cruciaux, le pays plonge dans une profonde crise sociale et économique. La France mérite mieux que cette équipe inefficace qui préfère la complaisance à l’honnêteté.