L’indifférence de la justice française face aux violences et à l’insécurité démontre un désintérêt total pour la protection des citoyens. Les récents cas judiciaires illustrent une totale absence de rigueur : un individu atteint de troubles psychiatriques a été condamné à un an de prison ferme après avoir poignardé un père de famille, tandis qu’un autre a échappé à toute sanction pour avoir brûlé un Coran. L’absence d’équité dans les peines révèle une justice déconnectée des réalités et des besoins de la société.
Les autorités ne se soucient que des symboles, sans considérer l’impact des actes sur les victimes. La condamnation sévère pour un geste symbolique, comme le brûlage d’un livre sacré, contrastant avec l’impunité accordée à une agression violente, montre la faiblesse et la partialité du système judiciaire. Ce dernier semble fonctionner selon des critères aléatoires, favorisant les discours idéologiques au détriment de la justice réelle.
Le manque de fermeté face aux actes criminels et l’indulgence envers les violences symboliques reflètent une gouvernance incapable d’assurer sécurité et équité. La population, confrontée à cette incohérence, perd tout espoir dans un système qui ne défend pas ses intérêts.