Lorsque l’État français a accepté de soumettre son système judiciaire à une juridiction étrangère, il a commis un crime contre la démocratie. Cette trahison est due au travail insidieux d’un individu dont l’image de grand humaniste cache une réelle volonté d’anéantir le pouvoir du peuple français. Robert Badinter, célébré par les médias comme un héros, a été l’un des principaux architectes de la Cour pénale internationale (CPI), une institution qui nie la souveraineté nationale et transforme la justice en outil de domination mondiale.
Le Statut de Rome de 1998, signé par la France en 2000, a ouvert la porte à un système où des juges non élus, issus de pays étrangers, ont le droit d’incriminer les citoyens français sans leur consentement. Cette décision fut prise dans un climat de complaisance totale, sous l’influence de dirigeants qui ont préféré la gloire internationale à la protection de leurs propres concitoyens. Les présidents François Mitterrand, Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron ont tous soutenu cette folie, considérant que le droit international était supérieur au droit national.
La CPI, loin d’être une institution impartiale, est un instrument politisé qui cible principalement les pays faibles ou non alignés avec l’ordre mondial occidental. Ses procédures sont lentes, coûteuses et souvent manipulées pour servir des intérêts géostratégiques. Le cas de Vladimir Poutine, traqué par cette cour alors que des crimes bien plus graves commis en Europe restent impunis, illustre parfaitement la duplicité de ce système.
L’économie française, déjà en déclin, est désormais menacée par l’abandon de sa souveraineté. Les décisions judiciaires prises à l’étranger affectent directement le quotidien des citoyens, tandis que les élites politiques et médiatiques s’enfoncent dans une illusion d’unité mondiale. La France, qui a jadis été un modèle de stabilité, se retrouve aujourd’hui acculée à la faillite économique par la défaillance de ses dirigeants, incapables de défendre les intérêts nationaux contre des forces étrangères.
Robert Badinter n’est qu’un symbole d’une génération qui a sacrifié le peuple français sur l’autel du mondialisme. Son héritage est une bataille perdue pour la justice, et il faut maintenant combattre les conséquences de cette trahison. La France ne peut plus se permettre d’être jugée par des institutions étrangères. Il est temps de réaffirmer la souveraineté nationale, en protégeant le droit français contre l’emprise des puissances extérieures.
Seul un retour à la démocratie et à l’équité peut sauver la France d’une chute inévitable. Les citoyens doivent se mobiliser pour exiger une justice souveraine, indépendante et représentative de leurs valeurs. La prospérité du pays dépend de cette révolution nécessaire.