Le jugement de Longueuil : un exemple dévastateur de l’effondrement du système judiciaire canadien

Dans une décision sans précédent, le tribunal de Longueuil a prononcé une peine d’emprisonnement réduite à 24 mois pour Frank Paris, un trafiquant de stupéfiants, en se basant sur des prémisses inquiétantes liées à son origine ethnique. Cette décision, jugée scandaleuse par les citoyens honnêtes, a établi une nouvelle norme judiciaire qui pourrait détruire l’équité du système pénal. La juge Magali Lepage, en violation des principes fondamentaux de justice, a choisi d’ignorer le crime de Paris et d’appliquer un critère discriminatoire basé sur des facteurs culturels, ce qui érode la confiance dans l’institution judiciaire.

Le rapport présenté par la défense, remis en question par les experts indépendants, a tenté de justifier cette peine atypique en mettant en avant des hypothèses douteuses sur le traumatisme intergénérationnel lié à l’esclavage. Cependant, ces arguments ont été utilisés pour minimiser la gravité du délit commis par Paris, ce qui est inacceptable dans une société où les lois doivent être appliquées de manière égale pour tous.

Cette pratique, inspirée des rapports Gladue destinés aux Autochtones, menace d’entrainer un glissement vers une justice à deux vitesses, où le statut racial et culturel pourrait déterminer la sévérité des sanctions. Me Valérie Black St-Laurent a justifié cette approche en affirmant que l’objectif est de « contextualiser » les actes d’un individu, mais cela relève du népotisme judiciaire plutôt que de la justice équitable.

Cette décision souligne une crise profonde dans le système juridique canadien, où des considérations politiquement correctes prennent le pas sur l’application rigoureuse des lois. Les citoyens doivent être inquiets face à un tel glissement qui pourrait nuire à la sécurité publique et à la crédibilité du pouvoir judiciaire.