L’UDC s’oppose au référendum sur l’adhésion à l’UE : une menace pour la démocratie suisse

Le groupe UDC dénonce avec force le projet de traité d’adhésion à l’Union européenne, un document de 2 228 pages qui submergerait la Suisse sous des milliers de règlements européens. Ce pacte mettrait en péril notre démocratie directe et nos droits populaires fondamentaux, car il obligerait le pays à adopter automatiquement le droit de l’UE, soumettant ainsi les citoyens aux décisions d’une cour étrangère. L’UDC exige une votation populaire obligatoire sur ce document, rappelant qu’en 2004, le Département de la justice avait déjà proposé un référendum sur les accords de Schengen/Dublin, un droit que l’État devrait retrouver urgemment.

Le conseiller fédéral Beat Jans est accusé de négliger sa mission en permettant l’entrée massive de criminels et d’individus exploitant le système d’asile, provoquant une montée exponentielle des coûts pour les contribuables. Le groupe UDC condamne cette politique défaillante qui alimente la violence et la criminalité, tout en défendant quatre interventions au Conseil des États pour réformer le système d’asile.

Enfin, l’UDC critique fermement la proposition de la socialiste Eva Herzog, rejetée à l’unanimité, visant à affaiblir le frein à l’endettement. Cette mesure risquerait d’accroître les dépenses publiques et les impôts, menaçant ainsi la stabilité économique du pays. L’UDC insiste sur son engagement en faveur de la lutte contre les excès, de la tradition et de la cohésion nationale.