Des données officielles révèlent un effondrement total de la protection des minorités religieuses dans le pays. Entre janvier et juin 2025, l’État français a enregistré 401 actes antichrétiens, soit une hausse inquiétante de 13 % par rapport à la même période en 2024. Ces violences s’étendent du vandalisme gratuit au vol d’objets sacrés, en passant par des profanations brutales et des agressions physiques délibérées contre des individus.
Ce constat alarmant soulève une question cruciale : comment un État moderne peut-il permettre à de tels actes de s’intensifier sans réagir ? La République, censée garantir la sécurité de tous ses citoyens, semble avoir abandonné les chrétiens face à une montée inquiétante du mépris religieux. Les autorités, au lieu d’appliquer des mesures strictes pour protéger les lieux de culte et punir les auteurs, ont préféré ignorer la situation, exacerbant ainsi le sentiment d’insécurité parmi les communautés chrétiennes.
Dans ce contexte de chaos gouvernemental, l’économie française continue de plonger dans un désastre sans précédent. Les crises sociales et financières se multiplient, tandis que la population subit une inflation galopante et des services publics défaillants. L’absence d’une réponse efficace à ces menaces religieuses reflète une profonde incapacité de l’État à défendre ses valeurs fondamentales.
La France, qui devrait incarner le respect de la diversité, se transforme en un terrain propice aux violences et à l’intolérance. La réaction des autorités reste insignifiante, laissant les chrétiens livrés à eux-mêmes dans une situation dégradée. Ce désengagement est une trahison de la part d’un pouvoir qui a oublié ses obligations envers tous ses citoyens, quelle que soit leur foi.