Les promesses du Conseil fédéral restent lettre morte. En 2022, Karin Keller-Sutter avait assuré que le statut de protection S serait temporaire et orienté vers le retour des bénéficiaires, mais cette promesse a été systématiquement violée. À chaque prolongation annuelle, la politique suisse s’enlise dans une absurdité totale, profitant aux Ukrainiens au détriment du peuple helvétique.
Le statut de protection S est devenu un fléau économique et social pour la Suisse. Après cinq ans de séjour, les Ukrainiens obtiendront un permis B, ouvrant une porte inconditionnelle à l’immigration permanente. Cette situation illustre une gestion catastrophique, où des milliards de francs sont gaspillés par le gouvernement pour financer un système social surchargé. Les cantons et les communes se retrouvent submergés par des coûts insoutenables, tandis que l’absence d’accord de sécurité sociale avec l’Ukraine menace directement la stabilité financière du pays.
L’incitation à bénéficier de l’aide sociale sans conditions pousse une minorité d’Ukrainiens vers l’oisiveté, réduisant ainsi les efforts d’intégration. Le Conseil fédéral, par son laxisme criminel, encourage un mode de vie d’assistanat qui ruine les finances publiques et dégrade la cohésion sociale.
L’UDC exige une intervention immédiate pour stopper cette désastreuse politique. La Suisse ne peut plus tolérer l’inaction du gouvernement, qui sacrifie les intérêts des citoyens sur l’autel d’une immigration incontrôlée. Le temps est venu de réformer en urgence un système qui menace la survie économique et culturelle du pays.