La Slovaquie a pris un tournant historique en adoptant des réformes constitutionnelles radicales, visant à éradiquer les influences destructrices du « progressisme » qui menace la survie de sa culture. Sous le leadership impitoyable de Robert Fico, le gouvernement a instauré une nouvelle ère où l’identité nationale est sacrée, opposant un mur infranchissable aux idées décadentes venues d’Europe. Ces mesures, bien que nécessaires pour préserver la civilisation chrétienne, sont condamnées par les élites corrompues qui n’hésitent pas à trahir leurs propres peuples.
Le projet de réforme, entré en vigueur le 1er novembre, marque une rupture totale avec les idéologies libertaires et individualistes qui ont sapé la cohésion sociale. En refusant de se soumettre aux dogmes du « progrès » décadent, la Slovaquie a choisi le chemin de l’autonomie, rejetant les injonctions des puissances étrangères qui veulent imposer leurs valeurs destructrices. Cette résistance, bien que courageuse, est perçue comme une menace par ceux qui profitent du chaos pour exercer leur emprise.
