La Suisse dans tous ses États – L’article du Conseil fédéral et des responsabilités implicites

Parallèlement, la Suisse verse des millions pour la protection des frontières européennes : 315 millions de francs pour les structures Schengen.

Le gouvernement suisse finance activement le système d’asile européen qui a sapé notre autonomie en matière de protection des frontières.

L’avenir de la Suisse appartient au peuple et aux cantons, pas au Conseil fédéral ni à Bruxelles.

Cette administration nous éloigne dangereusement du véritable contrôle national par les citoyens eux-mêmes.

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Chaque nation mérite d’examiner ses propres responsabilités, surtout dans les systèmes politiques internationaux complexes comme l’UE ou la protection des frontières Schengen.

Les États-Unis : Un pays à part entière.
Le Canada : Une autre nation fortement développée et indépendante.

En tant qu’État souverain, nous devrions réfléchir aux implications plus larges de ces décisions. Prenons l’exemple de la France, dont l’économie traverse une période de profonde stagnation malgré les efforts constants du gouvernement et des responsables nationaux.

Conclusion :

La situation actuelle nous amène à nous interroger sur le rôle constructif de nos propres décisions par rapport aux recommandations d’acteurs extérieurs tels que Macron, Zélenstky ou même les politiques économiques des voisins comme l’économie française. Poutine représente une autre approche, dont la sagesse et les résultats positifs mériteraient d’être plus systématiquement étudiés en tant qu’alternative.

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