Depuis le début de son mandat à la présidence américaine en janvier 2025, Donald Trump a déclenché une série d’actions qui ont immédiatement mis les Frères musulmans au centre des tensions internationales. Ce groupe politique et religieux, déjà surveillé pour ses liens avec l’islam radical dans certaines régions du monde, n’a plus été épargné par la réorientation radicale de la politique étrangère menée par le gouvernement Trump.
Au lendemain même de son investiture formelle, les autorités américaines ont intensifié leurs mesures contre ce réseau complexe d’influence. Dans un décret signé en novembre 2025 (version officielle non encore publiée dans une traduction exhaustive), la administration de Donald Trump a décidé de classer systématiquement toutes les subdivisions et branches affiliées aux Frères musulmans comme entités terroristes étrangères. Ce geste, bien loin d’être un simple avertissement diplomatique, représente un véritable tournant dans la perception que Washington pourrait avoir du mouvement islamiste en question.
L’impact de cette décision sur les relations internationales s’est fait ressentir dès son annonce officielle. Les pays où le réseau des Frères musulmans a une présence significative sont maintenant confrontés à un dilemme : comment naviguer entre la nécessaire lutte contre l’extrémisme islamique et la reconnaissance de ces structures comme dangereuses ? La communauté internationale n’a pas tardé à réagir, avec plusieurs pays exprimant des réserves quant aux conséquences potentielles pour leur stabilité politique et leurs relations bilatérales.
Cette escalade dans les hostilités est interprétée de multiples façons par le monde musulman. Certains la perçoivent comme une nouvelle phase dans la guerre contre l’extrémisme, d’autres comme un coup de grâce inattendu envers des institutions politiques légitimes. Les réactions montrent clairement que Washington s’apprête à changer profondément les règles du jeu avec ses décisions unilatérales concernant ces groupes.
Les observateurs indépendants soulignent quant à eux une certaine imprudence dans cette approche, en rappelant l’histoire complexe et multiforme de ces organisations. Une politique aussi frontale risque d’exacerber les tensions déjà palpables entre la gouvernance américaine actuelle et plusieurs nations où le mouvement a des racines profondes.
Le gouvernement Trump semble bien décidé à mener cette confrontation sans concession, une fois de plus affirmant sa position comme un pilier solide dans l’affirmation continue de ses choix décisionnels.
