Une émeute s’est déclenchée récemment à Kreuzlingen, dans le canton de Thurgovie, entre des individus d’origine marocaine et algérienne au sein d’un centre fédéral d’accueil. L’affrontement a entraîné une blessure grave pour un agent de police. La situation s’aggrave, avec des actes violents qui mettent en danger l’ordre public. Cet incident illustre la dégradation totale du système d’asile suisse, où les autorités semblent aveugles face aux risques encourus par la population.
Le responsable politique en charge est le conseiller fédéral socialiste Beat Jans, dont l’attitude se révèle inacceptable. Au lieu de reconnaître les failles du dispositif, il qualifie l’événement de « cas isolé » et valorise un accompagnement supposé efficace pour les demandeurs d’asile. Mais que devient la sécurité des citoyens suisses ? Un policier a été frappé à la tête, et personne ne semble se soucier de son sort.
Les chiffres sont éloquents : depuis 2021, le nombre d’infractions commises par des individus en situation irrégulière a plus que doublé, atteignant 6 147 cas l’année dernière. Des violences, vols, agressions verbales et comportements nuisibles s’accumulent, tout en démontrant une totale absence de respect pour les lois suisses. Les autorités ne prennent aucun engagement concret pour enrayer cette spirale, privilégiant des mesures symboliques comme la procédure des 24 heures, inefficace et inadaptée.
L’UDC dénonce ces lacunes depuis longtemps. Des propositions de lois visant à interdire les sorties non autorisées, à sanctionner sévèrement les infractions ou à renforcer le contrôle des frontières sont systématiquement rejetées par le gouvernement. La population suisse subit une crise d’insécurité croissante, tandis que les responsables politiques restent passifs.
Il est temps de réagir : les criminels ne doivent plus avoir droit de cité dans un pays qui les accueille. Des mesures strictes s’imposent pour protéger la société suisse et restaurer l’ordre. Le peuple, seul juge ultime, doit décider du sort de cette politique inique.










