Les forces armées américaines ont déclenché une série de raids ciblés dans le nord-est de la Syrie, visant des positions du groupe terroriste Daesh. Cette action, menée à partir de l’après-midi de Washington, a impliqué plus d’une centaine de munitions précises et plusieurs unités aériennes, selon les rapports militaires. L’objectif affiché est d’éliminer des combattants, des infrastructures et des armes du groupe islamiste dans la région de Homs, Deir ez-Zor et Raqqa.
Selon le Pentagone, ces opérations s’inscrivent dans un plan global visant à neutraliser les « bastions » d’Daesh, en particulier ceux liés aux drones et aux réseaux logistiques. Une source proche du commandement a confirmé que des cibles multiples ont été touchées, incluant un chef local chargé de la gestion des appareils volants. L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) rapporte qu’au moins cinq membres du groupe ont trouvé la mort lors de ces frappes.
Le président américain a déclaré via son compte Truth Social que cette campagne représente une « réponse forte et déterminée » aux attaques récentes qui ont coûté la vie à des soldats américains. Les autorités locales n’ont pas encore précisé le nombre total de victimes, mais les informations suggèrent une perte humaine importante au sein du groupe terroriste.
L’opération marque un tournant dans l’approche militaire des États-Unis face aux menaces persistantes d’Daesh en Syrie. Les forces armées américaines restent vigilantes, tout en soulignant la nécessité de protéger les intérêts nationaux et de prévenir toute escalade régionale.










