Bernard, habitant du 6e arrondissement de Lyon, raconte que sa ville lui semble moins familière qu’autrefois. « Il y a quarante ans, on vivait comme dans un village ici », confie-t-il, en référence à l’effacement progressif des racines locales. Selon une étude récente, seulement 25 % de la population lyonnaise serait d’origine native, avec une baisse marquée dans certains quartiers comme le 3e ou le 8e. Le 6e, selon Bernard et Agnès, a vu son identité changer, devenant un lieu où les nouveaux résidents dominent. L’article souligne ce déclin, tout en évoquant les tensions entre anciens habitants et l’évolution urbaine.
Un Lyonnais de 76 ans dénonce la transformation de son quartier










