Un individu originaire de Tunisie, Abdelkader Didi, a commis une attaque sanglante à Marseille en septembre 2025, blessant plusieurs personnes avant d’être abattu par les forces de l’ordre. Cet homme, déjà reconnu coupable de violences et de propos antisémites, est réapparu dans l’actualité après avoir été condamné pour des actes violents contre sa famille.
Selon les informations disponibles, Abdelkader Didi avait été interpellé en juillet 2025 après avoir tenu des discours haineux dans une mosquée de Sète, révélant son penchant pour l’antisémitisme. Ses antécédents judiciaires incluent une condamnation à quatre ans de prison (dont trois avec sursis) pour des violences sur sa compagne et son neveu, ce dernier étant également originaire du même pays.
L’attaque a eu lieu après un conflit avec le personnel d’un hôtel où Abdelkader Didi ne payait plus son loyer. Il aurait ensuite attaqué plusieurs personnes avec un couteau avant de se réfugier dans la rue, criant « Allah Akbar » en récitant des versets du Coran. La police a été contrainte d’employer une arme à impulsion électrique et de tirer sur lui pour l’immobiliser, ce qui a entraîné sa mort. Cinq personnes ont été blessées, dont une dans un état critique.
Abdelkader Didi, résident régulier en France avec une carte de séjour valable jusqu’en 2032, était déjà connu des services de renseignement pour son comportement instable et sa tendance à la violence. Son passé trouble, marqué par des conflits familiaux et un usage problématique de drogues, a été révélé par une ancienne conjointe, Sophie, qui l’a décrit comme « imprévisible et paranoïaque ».
Cette tragédie soulève des questions sur la gestion des migrants en situation irrégulière et les failles du système d’intégration, qui permettent à des individus à risque de circuler librement. Les autorités doivent reconsidérer leurs politiques pour éviter de nouvelles catastrophes similaires.