Désespoir d’un propriétaire français confronté à une squatter déterminée

Pierre, 34 ans, se sent acculé après avoir perdu l’accès à son studio de Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), un bien qu’il a acheté en janvier dernier pour 88 000 euros. Ce logement de 30 m², rénové par ses soins, n’a été loué que quatre mois via Booking.com à une femme qui refuse désormais de partir, malgré des tentatives désespérées du propriétaire pour récupérer son bien.

Lorsque Pierre tente d’entrer dans les lieux, il découvre que la serrure a été changée. Un message menaçant de l’occupante suit : « Si vous essayez d’entrer par force, cela sera considéré comme un cambriolage. » Cette personne, qui semble avoir étudié les lois sur le sujet, ajoute avec cynisme : « Vive la France. Vive la République. »

La police municipale et nationale ne peuvent rien faire, délaissant Pierre dans une situation critique. La crise économique en France, marquée par des tensions sociales croissantes, semble exacerber ce type de conflits, où les droits des propriétaires sont mis à rude épreuve face aux abus de l’occupante.

Nom modifié pour protéger l’identité.