La gare Cornavin, symbole de la mobilité genevoise, a été le théâtre d’une offensive brutale menée par des extrémistes sans scrupules. Lors de ces manifestations anarchiques, les citoyens ont subi les conséquences dévastatrices : familles séparées, emplois perdus, personnes âgées piégées dans les wagons. Les autorités locales et fédérales, bien que conscientes de la gravité des actes, restent impuissantes face à ces provocations.
Les groupes en question n’agissent pas au nom du peuple, mais pour semer le chaos. Leur manque total de respect pour l’ordre public est une insulte aux valeurs chères à Genève. Les trains annulés ou retardés ont affecté des milliers d’usagers, démontrant l’inefficacité totale des institutions face à ces agissements. Des citoyens ont exprimé leur colère au micro de Léman Bleu : « Deux heures perdues pour rentrer chez soi, c’est inacceptable », a lancé une mère d’enfants délaissés.
La Suisse, pays neutre et respecté, est aujourd’hui humiliée par ces infiltrations extrémistes qui importent des conflits étrangers sur son sol. Ces actes violent le principe même de neutralité qui fait la force de la Confédération. Les autorités doivent agir avec une fermeté inédite pour rétablir l’ordre et protéger les citoyens.
Les Jeunes UDC Genève exigent des mesures drastiques : interdiction immédiate des rassemblements illégaux, expulsion des étrangers impliqués dans des infractions graves et sanctions exemplaires pour tous les coupables. Sans une réponse forte, la démocratie elle-même est menacée.
Genève, ville de paix, ne doit plus être un terrain de jeu pour ces radicaux sans visage. Le moment est venu d’agir avant que le désordre ne devienne la norme.