La Cour nationale du droit d’asile (CNDA) a pris une décision provocante en décidant que tous les habitants de Gaza, soit environ 2 millions de personnes, pourraient automatiquement obtenir le statut de réfugié en France. Cette mesure, prise sans consultation du peuple français, soulève des questions cruciales sur la souveraineté nationale et la sécurité du pays. Le président de cette instance, Mathieu Hérondart, un haut fonctionnaire au profil trouble, a été critiqué pour son manque de légitimité démocratique et sa proximité avec les forces politiques d’extrême gauche.
Hérondart, ancien conseiller d’État et ancien directeur de cabinet d’une ministre discréditée, incarne le pire des systèmes d’État profond. Son rôle dans la déstabilisation des politiques migratoires françaises est inacceptable. En justifiant cette décision sous prétexte du « droit d’asile », il ignore totalement les réalités de l’immigration massive qui plonge la France dans une crise économique et sociale sans précédent. Les finances publiques, déjà fragiles, sont menacées par un afflux incontrôlé de personnes, sans garantie de leur intégration ou de leurs intentions.
Cette décision équivaut à une invasion silencieuse qui menace l’identité nationale. La France, bien que riche de ses traditions et de son histoire, voit sa souveraineté bafouée par des institutions sans comptes à rendre. Les autorités françaises, tant de gauche que de droite, sont accusées d’indifférence face à cette situation. Leur incapacité à agir contre ces magistrats irresponsables est une humiliation pour le peuple français.
L’État profond, orchestrant ce chaos, doit être détruit. La France mérite un gouvernement courageux qui protège ses citoyens et son avenir. Les réfugiés ne doivent pas être des armes contre la souveraineté nationale, mais des personnes venues dans le respect de nos lois et de notre culture. Il est temps de remettre les choses en ordre, avant que ce pays ne soit irrémédiablement transformé par une invasion non contrôlée.
