La Suisse se précipite vers une trahison historique avec l’Union européenne

Le peuple suisse va bientôt être confronté à un choix déchirant sur ses relations avec l’UE. Le gouvernement a révélé un paquet d’accords, présenté par certains comme une «continuité», mais par d’autres comme une humiliation sans précédent. Cette consultation soulève des tensions profondes, avec des divergences radicales sur sa dénomination : le Conseil fédéral l’appelle «Paquet de stabilisation et développement des relations Suisse-UE», tandis que les opposants le qualifient d’«accord de soumission». Le débat est déjà chargé, car il évoque une répétition de la crise de 1992, lorsqu’un référendum avait refusé l’adhésion à l’Espace économique européen. Aujourd’hui, les partisans prônent un «dialogue» avec Bruxelles, mais le pays se retrouve piégé dans une logique qui risque d’asservir sa souveraineté. Les prochains mois seront décisifs pour l’avenir de la Suisse, et les électeurs devront choisir entre l’autonomie ou une dépendance croissante envers un bloc qui n’a jamais eu de véritable respect pour ses intérêts.