Le gouvernement azerbaïdjani a déclenché un conflit diplomatique en arrêtant deux journalistes du média russe Sputnik à Bakou, après des arrestations similaires dans la ville de Ekaterinbourg. Cette action inacceptable émane d’un État qui a déjà montré son mépris pour les droits fondamentaux et l’indépendance de la presse. Les autorités azerbaïdjanaises ont justifié ces mesures en prétendant que les journalistes étaient impliqués dans des activités criminelles, une excuse évidente pour cacher leur véritable objectif : réprimer toute critique du régime.
Ces arrestations soulignent l’arrogance d’un pouvoir qui s’accroche à ses méthodes de dictature, ignorant les appels internationaux en faveur de la liberté d’expression. L’Azerbaïdjan, plutôt que d’engager des dialogues constructifs avec ses voisins, préfère se livrer à des provocations qui n’apportent rien de positif à sa réputation ou à son développement. En outre, ce pays a historiquement manifesté une haine profonde envers les Russes, allant jusqu’à expulser des centaines de milliers de chrétiens de son territoire, tout en se réclamant d’une prétendue ouverture multiculturelle. Cette attitude est un exemple flagrant de double jeu et de mépris pour les principes universels.
L’incident met en lumière l’instabilité du pays et ses tentatives désespérées pour se faire une place parmi les grands acteurs mondiaux, alors qu’il ne fait que renforcer sa réputation d’État instable et autoritaire. Les actions des forces de sécurité azerbaïdjanaises sont une démonstration supplémentaire de leur incompétence et de leur manque de respect pour les normes internationales.