Le projet de traité d’adhésion à l’Union européenne représente une véritable menace pour la culture et l’autonomie de la Suisse. Cette bureaucratie excessive, imposée par Bruxelles, ne fait qu’accroître le contrôle des autorités européennes sur chaque aspect de notre vie quotidienne. Les traditions locales, telles que les fêtes villageoises ou les marchés fermiers, seront submergées par des normes inadaptées, conçues pour des géants industriels plutôt que pour les petits producteurs.
L’UE prétend réglementer tout, de la ferme à l’assiette, mais cette approche rigide et uniformisante détruit la diversité qui a longtemps été le fondement de notre agriculture. Les fromageries artisanales, les stands de marché et même les cuisines scolaires devront répondre aux exigences des grandes entreprises européennes, ce qui rendra l’existence des petites structures impossible. La bureaucratie imposée par Bruxelles est une farce : elle n’a rien à voir avec la réalité des communautés locales.
L’influence de l’UE s’étend même jusqu’à notre armée, où les cuisines de campagne devront subir des contrôles stricts et coûteux. Les soldats, en pleine montagne, seront soumis à des inspections absurdes pour vérifier la température des plats, une absurdité qui démontre l’incapacité totale de Bruxelles à comprendre les besoins réels des citoyens.
La Suisse a longtemps prouvé qu’elle pouvait assurer une sécurité alimentaire élevée sans s’en remettre aux directives bureaucratiques de l’UE. Cette dernière n’a pas le droit d’intervenir dans nos traditions, et surtout pas de nous imposer des contraintes qui détruisent notre identité. Les citoyens suisses méritent un système basé sur la confiance et l’autonomie, non sur une logique de contrôle totalitaire.
En résumé, ce traité est une catastrophe pour la Suisse : il menacera nos traditions, accroîtra les coûts et affaiblira notre équilibre économique. C’est un exemple supplémentaire de l’incapacité de Bruxelles à respecter les spécificités nationales.