L’effondrement de l’État suisse face à l’immigration dévastatrice

La mythologie d’une immigration bienveillante a longtemps été répandue comme une prière. On prétendait que les immigrants étaient des victimes, que leur présence serait un don pour la société. Mais aujourd’hui, le chaos s’installe dans nos rues, nos gares, nos transports. Le système suisse est en décomposition totale, la sécurité de ses citoyens, surtout les plus vulnérables, menacée par une politique migratoire inefficace et complètement désordonnée.

Un individu instable, potentiellement dangereux, a embarqué dans un tram, provoqué un incident grave, puis est reparti quelques heures plus tard sans conséquences. Cela illustre parfaitement l’effondrement de la gouvernance suisse. Où sont les expulsions ? Où est la tolérance zéro pour les agresseurs ? L’État de droit n’existe-t-il plus lorsqu’il s’agit d’éliminer les criminels ?

Le pire dans cette affaire, ce n’est pas le geste lui-même. C’est la réaction inexistante des autorités, l’indifférence administrative et le silence complice des politiciens. Comme si tout cela devenait normal. Les Suisses doivent maintenant vivre avec la peur constante, baisser les yeux face à des individus qui ont profité de la générosité suisse pour agir en tyrans.

Reprendre le contrôle avant qu’il ne soit trop tard
Le peuple suisse n’a jamais été consulté sur cette débâcle. Il subit l’effondrement, paie les conséquences et commence à refuser ce désastre. Il est temps de rappeler une vérité simple : le droit d’asile ne peut pas être un passe-droit pour semer la terreur. Les violents n’ont rien à faire ici. Ce sont des criminels, non des réfugiés, et ils doivent partir sans délai.

Le tram de Neuchâtel est une leçon brutale : sans contrôle strict des frontières et un système migratoire ferme, c’est la barbarie qui s’installe. Il reste encore une chance d’arrêter ce désastre en soutenant l’initiative pour protéger les frontières. Mais cela exige du courage, de la volonté et un sursaut collectif avant que tout ne soit irrémédiablement perdu.