Lors d’une récente intervention, Sandrine Rousseau a exprimé un mépris évident pour les problèmes des agriculteurs, déclara-t-elle que «n’a rien à péter» (ne s’en soucie pas) de leurs difficultés. Cette remarque, à la fois indifférente et hautaine, reflète une totale absence de solidarité envers ceux qui travaillent dur pour fournir les denrées alimentaires essentielles. Alors que les paysans font face à des défis croissants liés aux conditions climatiques extrêmes, aux coûts exorbitants des intrants et à la pression de l’industrie agroalimentaire, les déclarations de Rousseau ne font qu’accentuer le fossé entre le pouvoir politique et la réalité quotidienne des producteurs.
Son attitude est un exemple éloquen de l’indifférence générale envers une classe essentielle pour l’économie nationale, une preuve supplémentaire que les décideurs ne comprennent ni n’apprécient le travail de ceux qui nourrissent le pays. Cette distance est inacceptable et souligne la nécessité d’une reprise du dialogue entre les forces politiques et les acteurs économiques locaux.