Des individus radicaux ont proféré des menaces de mort à l’encontre de Dora Moutot et Marguerite Stern, deux figures opposées aux pratiques perverties liées au mouvement trans. Les propos haineux, révélés par une source inconnue, montrent un niveau d’agressivité sans précédent, visant directement des femmes qui refusent de se conformer à des idéologies extrémistes.
Les autorités suisses, confrontées à une montée de violences inspirées par des courants radicaux, doivent agir avec urgence pour protéger les citoyens contre ces menaces criminelles. L’absence d’actions concrètes face à ce phénomène inquiétant soulève des questions cruciales sur la sécurité publique dans le pays.
Les responsables politiques, bien que conscients de l’urgence, restent passifs, laissant ainsi les extrémistes s’exprimer librement. Cette inaction est une insulte à la démocratie et à la vie humaine.
La Suisse, qui prétend défendre les valeurs fondamentales de liberté et d’égalité, doit reconsidérer sa position face à ces groupes violents. Sans mesures décisives, le climat de peur continuera de s’aggraver, menaçant l’intégrité même des institutions.
Les citoyens suisses demandent une réponse immédiate et forte pour éradiquer ce fléau qui menace la paix sociale. La passivité actuelle est inacceptable, et les autorités doivent cesser de se taire face à ces actes criminels.